Honte de parler anglais ? Un mal bien français !

Qui n’a jamais hésité avant de prononcer une phrase en anglais, de peur de se tromper ? Dès l’école, répondre en anglais en classe devient une source de stress. Mal prononcer un mot peut rapidement se transformer en moquerie. Bilan ? Dès les premiers cours, la peur de l’erreur s’installe. Nous sommes donc bien loin d’un problème de compétences. Loin de là ! Le vrai souci, c’est qu’à l’école, on apprend surtout à écrire et à réciter, pas à parler. Une faute ? Un zéro. Une hésitation ? Un regard sévère de l’enseignant. Alors, à force, on préfère s’abstenir. Une fois adulte, difficile de se défaire de cette peur. Il existe cependant des solutions efficaces permettant de retrouver confiance et fluidité à l’oral. Vous vous reconnaissez dans ces quelques lignes ? Alors, cet article est fait pour vous !

La faute à un système scolaire peu adapté à l’oral ?

À l’école, l’anglais, c’est avant tout une affaire d’écrit. Des règles de grammaire à réciter, des verbes à conjuguer, des verbes irréguliers à apprendre par cœur et des textes à traduire. Et l’oral dans tout cela ? Quasiment absent. Quand un enseignant interroge, ce n’est que très rarement pour laisser l’élève s’exprimer. Et s’il le fait, il traquera cependant la moindre faute. Une hésitation, une erreur et l’attention se porte aussitôt sur ce qui ne va pas. Résultat : plutôt que de risquer une correction ou un regard agacé, beaucoup préfèrent se taire. Très vite, la peur de se tromper prend le dessus.

Difficile, dans ces conditions, de s’exprimer avec assurance. Si chaque faute est sanctionnée, il est préférable de se taire. L’anglais s’apprend, de ce fait, comme une matière théorique, avec des exercices sur papier, sans jamais l’utiliser dans des situations réelles. Résultat : des années de cours et pourtant, l’incapacité de formuler une phrase spontanément. L’anglais reste enfermé dans la tête, figé dans des règles, mais il refuse de sortir à l’oral. Ce n’est pas une question de manque de capacité, mais de méthode : à force de valoriser l’écrit, l’école a oublié l’essentiel.

Une honte qui a des conséquences jusque dans le milieu professionnel !

Une fois en entreprise, la peur de parler anglais ne disparaît pas. Lors d’une réunion, beaucoup préfèrent rester silencieux plutôt que de risquer une faute devant leurs collègues. Quand un client étranger est en ligne, certains évitent de répondre, prétextant un agenda chargé. Lorsqu’une opportunité de promotion exige un bon niveau d’anglais, l’autocensure prend malheureusement la plupart du temps le dessus.

Ce réflexe d’évitement ne fait qu’aggraver le problème. À force de fuir l’anglais, la confiance en soi s’effrite et le stress augmente. L’appréhension d’une simple conversation devient un véritable frein dans le cadre professionnel. Et pourtant, il suffit généralement d’oser. Même avec un accent bancal ou un mot mal prononcé, on se fait comprendre. Ceux qui tentent, qui prennent le risque de parler, finissent par s’améliorer et surtout, par se libérer de cette peur. Parce qu’en réalité, l’anglais est partout. L’éviter, c’est se fermer des portes. Et pas seulement des opportunités de carrière, mais aussi des rencontres, des expériences, des échanges qu’on regrette parfois trop tard.

Dépasser la peur de l’anglais : la clé d’un apprentissage efficace ?

Oser parler, c’est la clé pour progresser en anglais. Soyons francs : à l’école, parler anglais, c’était risqué. Une faute, et c’était fini. Mieux vaut se taire que prendre le risque d’être repris ou mal vu. On passait des heures sur la grammaire, les conjugaisons, les listes de verbes irréguliers… mais ouvrir la bouche ? Quasiment jamais. Pas étonnant qu’une fois adulte, on bloque encore. Résultat ? Dès qu’il faut parler, on bloque.

Chez Explora Langues, on fait les choses autrement. Ici, pas de jugements ni de stress : juste de la pratique, en conditions réelles. Les cours en face-à-face avec un formateur permettent d’apprendre à parler sans avoir peur de se tromper. Et ça change tout. Plus on parle, plus on prend confiance. Plus on prend confiance, plus on progresse.

Petit à petit, la peur disparaît. On parle, on s’adapte, on cherche ses mots… et ça fonctionne. On comprend, on répond, et surtout, on prend confiance. Jusqu’au jour où on réalise qu’on peut tenir une conversation sans paniquer.

L’anglais ne s’apprend pas en restant silencieux. Plus la langue est pratiquée, plus les progrès sont visibles. En pratiquant la langue anglaise au quotidien, sans crainte du jugement, l’aisance et la spontanéité s’installeront naturellement. Faire des erreurs ? C’est normal. Ce qui compte, c’est d’oser et de s’entraîner dans un cadre bienveillant. Avec la bonne approche, l’anglais deviendra un outil vivant, accessible et maîtrisé.